Cqoicebordel

Un blog ne servant à rien

 

Mariage pour tous.

Les débats ayant agités la France l’année dernière et le reste du monde ces dernières années a été à mon sens complètement à côté de la plaque.
Que les homosexuels réclament l’égalité est très bien, mais il ne faut pas se voiler la face : cette égalité n’existe pas, et n’existera jamais, tout simplement parce que le mariage représente l’union d’un homme et d’une femme, et ce depuis des siècles.

Pour ceux qui pense arrivé à ce point de cet article que je suis homophobe, veuillez d’abord lire la suite. Merci.

Qu’est-ce que le mariage ? C’est une vaste question, qui dépend également de quel mariage on parle. Mariage religieux ? Mariage civil ?
Commençons par le religieux :
Le mariage religieux a lieu dans le but de création d’un foyer et d’une descendance. Par ailleurs, il est également issue d’une tradition extrêmement vieille.
Il n’y a aucune raison qui pourrait indiquer que le mariage religieux pourrait ou devrait un jour changer. On ne change pas facilement des siècles d’histoire, et d’ailleurs, on ne devrait pas changer facilement des siècles d’histoire.

Le mariage civil représente quelque chose de totalement différent. Il est là pour symboliser l’union de deux personnes vis à vis de l’État, et de la loi. Ni plus, ni moins.
C’est à dire qu’il crée un pacte entre ces deux personnes, indiquant à l’État qu’elles sont liés, et qu’elles partagent des responsabilités, des devoir, des richesses, le statue de géniteurs etc.
Cependant, ce que l’on a pu voir avec le mariage pour tous, c’est que ce format de mariage à deux, hétérosexuel, est dépassé, et que ce format familial a volé en éclat. On aurait également pu prendre en compte le fait que le « couple » ne se limite plus forcément à deux personnes.
Ainsi le mariage civil devrait constituer un contrat entre deux personnes, ou plus, de sexes quelconques, indiquant à l’état que ces personnes veulent créer un foyer, partager les responsabilités et devoir dudit foyer vis à vis de l’État.
Voilà un mariage pour lequel je me serais battu.

Par ailleurs, il me semble que l’on a pas évoqué lors de ce débat une des seules questions importantes : Est-ce que la Sécurité Sociale doit rembourser les frais de PMA pour les couples de même sexe ? En effet, si on part du principe qu’il faut les rembourser, on pourrait atteindre rapidement la conclusion que l’homosexualité est une maladie, tandis que si on ne remboursait pas, un grave problème d’égalité et d’équité apparaîtrait…

Dans la catégorié : Every-day life,Vrac
Par Cqoicebordel
Le 14 juin 2014
A 1:59
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Avancer

J’essaye d’avancer doucement, mais sans connaître la direction.

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 25 avril 2014
A 0:20
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Message pour les créateurs de projets financés participativement / Message for crowd funded projects’ creators

Le mode de financement des projets culturels change, et vous en avez conscience. C’est pour cela que vous pensez utiliser, ou que vous avez déjà utilisé un financement participatif, aussi appelé crowdfunding.
Le fonctionnement de ce financement n’est pas si différent du mécénat : de l’argent est donné à un artiste pour qu’il exécute un projet.
La grande différence provient du fait qu’Internet à rendu ce mécénat global. Partout dans le monde, des gens peuvent participer ensemble à un mécénat particulier, pour un projet qui les intéresse, sans pour autant dépenser des fortunes individuellement.
C’est un fonctionnement qui est gagnant pour tout le monde : les artistes ont récupéré plus d’argent que dans l’ancien système pour vivre, et pour exécuter le projet, et les mécènes obtiennent des petites compensations (pécuniaires, ou plus souvent en nature), et la joie de voir l’œuvre finie.

Mais je pense qu’il y a ici un léger problème. En effet, la loi, du moins en France, dit qu’une œuvre appartient à son créateur, et que des droits doivent être versé jusqu’à 70 ans après la mort de son auteur. Passé ce délai, l’œuvre tombe dans le domaine public et peut être utilisé gratuitement par n’importe qui (je simplifie évidemment les textes de loi). Ce principe peut être intéressant car il permet de réinvestir les gains des projets précédents dans les futurs. Dans la vraie vie, la plupart des créateurs tendent à abandonner leurs droits pour les laisser aux studios qui leur ont fourni le financement nécessaire.
Dans le cadre des projets financés participativement, le peuple est le studio. Un studio très gentil qui laisse toute la liberté créatrice à l’auteur, et qui ne se soucie pas du retour sur investissement.

Il me semble donc qu’il s’agit là d’un problème d’équilibre : en effet, au moins moralement, le peuple est sensé être propriétaire de l’œuvre.
C’est normal que le créateur ait des bénéfices suite à son œuvre, lui permettant de créer de nouvelles choses, mais le peuple n’a pas à mon sens de compensation équitable.

Ma proposition est la suivante : Que tous les créateurs de projets financés participativement diffusent au bout d’un délai raisonnable leur œuvre avec une licence Creative Commons BY-NC ou BY-NC-SA. Cela leur permettrait de continuer à engranger des bénéfices sur les utilisations commerciales des oeuvres (télé, DVD, radio, cinéma), tout en permettant au peuple de s’approprier l’œuvre.
Et par délai raisonnable, j’entends entre 1 et 10 ans après la première diffusion, permettant de préserver une chronologie des médias, qui même si elle est dépassé est la plus utile pour que les bénéfices aillent à l’auteur, tout en rapprochant de nombreuses années l’utilisation de l’œuvre par le public rééquilibrant ainsi la balance domaine privée/domaine public.
Typiquement, ce serait après que le projet soit rentré dans ses frais, votre salaire, et le remboursement des prêts contractés inclus.

The funding principles of cultural projects funding are evolving, and you’re aware of that. That’s why you’ll use, or already used crowdfunding.
The working basis of crowdfunding is not really far from patronage : money is given to an artist to do a project.
The real turning point was Internet, which permitted patronage to become global. Everywhere in the world, people can contribute together to a specific project that share their interest, without each of them spending a fortune.
Everybody wins : artists earn more money to live and to do the project than in the previous system, and the sponsors can get some compensations (pecuniary, or more likely in kind) and the joy to see the project completed.

But I think there is a little issue here. Indeed, in the french law, a work is owned by its creator at least 70 years after his death, and you have to pay royalties tu use this work. After this time, the work belong to the public domain, and can be used freely by anyone (of course, I’m describing a simplification of the law). Royalties are useful because they allow to reinvest some money in future projects. In real life, the creators have a tendencies to give up their rights for the studios who funded them.
In crowd funded projects, the crowd is the studio. A really nice studio, which allow every liberty to the creator and don’t care about return of investment.

I think there is a balance issue here: Indeed, at least morally, the people are the rightful owners of the work : they paid for it.
It’s right that the creator earned some profits, because he can invest in future works, but I think that the people are not rightfully compensated.

So this is my proposal: Every creator’s crowdfunded projects should be released after a reasonnable amount of time under a Creative Commons licence such as BY-NC or BY-NC-SA. This would allow the creator to still earn money from the commercially diffused form of his work (TV, DVD, radio, cinemas…), but also would allow the people to use the work as they want, to create freely from it.
And by reasonnable amount of time, I mean between 1 and 10 years after the first broadcast, preserving the media chronology which allow the money to still go to the creator, but also bringing closer the moment when the public could use freely the project, rebalancing it between private domain and public domain.
Typically the time needed will be the amount of time necessary to pay yourself, and to clear any debts the project created.

Dans la catégorié : Every-day life,Vrac
Par Cqoicebordel
Le 13 mars 2014
A 0:06
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Colère

La colère est quelque chose de fascinant.
On peut soit la laisser pendant des jours bruler à petit feu, soit la faire exploser immédiatement.
On peut également en venir à bout juste en discutant. Ou la rallumer en faisant la même chose.

Mais je pense qu’au final, il n’y a que deux sorties pour la colère. Comme le café dans un percolateur.
Soit elle trouve un exutoire, la discussion par exemple, et les dégâts sont limités.
Soit elle explose, et provoque des dégâts tout autour.

Ce qui est affligeant, c’est que dans tous les cas, elle ne sert à rien en elle même. A part peut-être prouver notre place dans la société, prouver qu’on existe encore, montrer qu’on a encore le droit à un petit peu de fierté, d’amour-propre.

Tout le reste, ça part à la poubelle.

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 2 mars 2014
A 19:46
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Séries : le retour !

Commençons par les outils :
Je n’ai pas changé grand chose par rapport à mon dernier post. Ou plutôt, si. Maintenant, j’ai arrêté d’utiliser Vuze, pour passer à QBittorrent. Par ailleurs, l’outil RSS de téléchargeur est nickel, et me télécharge donc automatiquement toutes les séries que j’ai configurées préalablement. Le bonheur quoi.
Pour le reste, j’ai du coup abandonné les newsgroup, et s’il me reste des choses à télécharger à la main, http://kickass.to fonctionne à merveille la plupart du temps.

Passons maintenant au vif du sujet. Voici les nouvelles séries que j’ai pu voir :

Breaking Bad
J’en ai déjà parlé (et tout le monde l’a fait), mais maintenant qu’elle est finie, je peux vous dire que cette série est parfaite. Foncez !

ER (Urgences)
Série hallucinante de longévité. Je pense qu’on peut la découper en deux grandes parties : Tout d’abord le début de la série, avec les 8 premières saisons, qui sont excellentes (avec évidemment des hauts et des bas), des personnages touchants et pas stylisés ou exagéré, ça respire le réalisme, ce qui est évidemment une bonne chose. Puis il y a la fin de la série, à partir de la saison 9, où l’arrivé de nombreux nouveaux personnages inintéressant au possible, et le manque de nouveauté dans les histoires, rendent l’intérêt de ces saisons pratiquement nul. Toutefois, il faut noter le tout dernier épisode de la série, qui est vraiment touchant quand on a pu suivre cette série depuis le début. Cela est assez étrange de pouvoir voir l’évolution des personnages et acteurs sur 15 ans…

Hard
Je suis surpris de ne pas en avoir parlé la dernière fois. Il s’agit d’une série française édité par Canal+, qui raconte l’histoire d’une mère de famille catho prout prout qui reprend les affaires de son mari lors du décès prématuré de celui ci, et se rend compte qu’a partir de maintenant, elle doit gérer une boite de production de films pornos. Il y a évidemment beaucoup d’exagérations dans cette série, mais elle est plaisante à voir, drôle, et bien filmée. Ça vaut le détour. Reste à voir si elle aura une nouvelle saison…

Hart of Dixie
Je n’ai vu que les deux ou trois premiers épisodes. Il s’agit d’une série racontant l’histoire d’un tout jeune médecin qui est obligé d’aller dans un petit patelin de l’Amérique profonde pour commencer à travailler. De ce que j’ai pu en voir, c’est plutôt touchant, mais franchement gnan gnan. Ce sont toujours les mêmes histoires de patelins où une personne de la ville vient s’installer. Et j’ai beau adorer Rachel Bilson, on ne peut pas baser une série sur ses beaux yeux.

House of Cards
Voici la série qui change complètement la donne dans le paysage télévisuel. Tout d’abord, elle est produite par Netflix, un site Internet et pas une chaine de TV, et de plus, les acteurs principaux sont Kevin Spacey et Robin Wright (Penn), des acteurs qui ne jouaient qu’au cinéma. Et cette série est d’une qualité ahurissante aussi bien d’un point de vue visuel que d’un point de vue scénaristique ou du jeu. Elle a vraiment été travaillée et ça se voit. Autant the West Wing pouvait montrer le côté clair de la politique américaine, le côté optimiste de ce que ça devrait être, autant là, on est au fond des turpitudes de là où peut s’abaisser toute la classe politique. C’est noir, glauque, et jouissif à souhait ! Notons également la présence de Kate Mara que j’apprécie tout particulièrement.

Orange is the New Black
L’arrivé dans une prison pour femme d’une personne qui a fait une connerie dans sa vie, et s’est intégrée parfaitement dans la société, ne se passe pas sans remous. Et c’est encore une série de Netflix d’une excellente qualité que je vous recommande de regarder. Cette série est peut-être un poil optimiste par moment, mais reste tout de même glauque, et pas évidente à regarder par moment. C’est la découverte d’un monde totalement différent, qui ne nous conviendrais pas, où on peut observer quelqu’un essayer à contre cœur de s’y intégrer. On peut noter que cette série a été créée par Jenji Kohan, à qui on doit également Weeds.

Party Down
Ahhhh quelle série !!! Une des comédies les plus drôle que j’ai pu voir. Avec une grande partie de l’équipe de Veronica Mars (j’y reviendrais), cette série raconte l’histoire d’un traiteur hollywoodien spécialisé dans les petites fêtes, où les travailleurs sont tous des personnes du show business n’ayant pas réussi à percer. C’est simple, accessible, bien joué, avec des personnages touchants dans leurs maladresses… Bref, foncez !

Sport Night
Première série d’Aaron Sorkin (The West, The Newsroom, Studio 60 et en film, The Social Network), il s’agit d’une sitcom se passant dans les coulisses d’une émission sportive. On sent la patte de Sorkin, mais on peut malheureusement constater que le format ne lui convient absolument pas. Les rires enregistrés sont hors de propos, il lance les personnages dans de longues tirades que les 20 minutes du format sitcom n’accommode pas, il parle d’un domaine qu’il aime, la télé, mais il lui manque le second, la politique et ça se sent. Bref, à voir pour les puriste et fan de Sorkin, mais plus à stocker au statut d’ébauche qu’autre chose.

The Americans
Je suis totalement incapable de donner un avis objectif. J’ai personnellement adoré cette série, mais je ne sais pas si elle est de qualité. C’est l’histoire d’un couple de russe dans les années 70 sous couverture au Etats Unis. C’est prenant, les acteurs sont bons, les histoires aussi, mais il y a quelque chose qui manque, et je n’arrive pas à mettre le doigt dessus. En tout cas, rien que pour Keri Russel, ça vaut le coup !

The Following
Je n’ai vu que la première saison pour l’instant. Kevin Bacon y campe un flic à la retraite spécialiste d’un chef de secte emprisonné. Lorsque celui-ci s’échappe de prison, qui on appelle ? Kevin évidemment. C’est un jeu du chat et de la souris, prenant, glauque et gore. C’est parfois difficile à regarder. Le fil rouge de la série est plutôt évident, mais la mise en place est extrêmement intéressante, et certains retournements de situations nous prennent de vitesse, ce qui est une bonne chose. Bref, à voir si vous avez le cœur bien accroché.

The Newsroom
Cette série d’Aaron Sorkin (encore), est je pense sa meilleur à ce jour. Elle a toujours les failles inhérentes à Sorkin, à savoir l’optimisme, et le patriotisme trop présent, ainsi qu’une tendance politique de gauche. Mais les dialogues, les acteurs, les personnages sont excellent. Cette série raconte l’histoire d’un bureau d’édition de journal télévisé. On peut donc y voir les combats pour diffuser une news en avant première ou pas, la politique interne, la politique national sous un autre jour. Bref, extrêmement intéressante et prenante. Coup de coeur particulier pour Alison Pill.

The West Wing
Encore une série d’Aaron Sorkin, son plus grand succès critique jusqu’à présent. Cette série montre la vie à l’intérieur de la maison blanche, non pas tellement du côté du président, mais plutôt du côté des conseillés. Et même si l’histoire est un peu enjolivée, il est très intéressant de voir les rouages qui font tourner la machine. De plus les personnages sont bien joués, intéressant, et la série dans sa globalité est intelligente. Si vous êtes passionné de politique américaine, cette série est pour vous. Par ailleurs, on peut noter que tous les épisodes des 4 premières saisons ont été entièrement écrite par Sorkin lui même (contrairement à l’habituelle équipe), tour de force mémorable quand on voit le résultat. Les trois saisons suivantes sont un peu plus faibles, mais valent tout de même le coup. Foncez !

Veronica Mars
Série pour adolescents, racontant l’histoire d’une jeune lycéenne détective. Ce n’est pas une série pour adolescents comme les autres, les thèmes abordés sont plus noirs, sérieux. Kristen Bell y joue parfaitement l’héroïne éponyme. De nombreux fans on continué à faire vivre le monde de la série, jusqu’à ce qu’un film financé par les fans sur Kickstarter ait été lancé l’année dernière (pas encore sortit). C’est une très bonne série, pleine de profondeur, mais à mon avis, ne mérite pas tous ces fans.

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 10 février 2014
A 2:02
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(É)Vid(é|e)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 9 février 2014
A 16:17
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Invention n°4 : Le dessalinisateur

L’invention du jour est une invention pour les pays en voie de développement.
Il s’agit d’un dessalinisateur d’eau de mer.

Il est constitué de cin parties :
- La « casserole », qui contient l’eau de mer à traiter
- Le four solaire, concentre les rayons du soleil vers la casserole, et fait monter son contenu à une température d’ébullition, permettant de tuer les bactéries et virus contenus dans l’eau non propre
- Le condensateur est un couvercle transparent, laissant donc passer les rayons du soleil vers le four solaire, et récupère la vapeur d’eau qui se condense à sa surface
- La condensation s’écoule du condensateur vers le récupérateur, la partie inférieur du dispositif
- Une fois arrivée au centre du récupérateur, l’eau s’écoule par un trou pratiqué, permettant la récupération facile de l’eau propre dans un réceptacle quelconque.

 

Dessalinisateur

 

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 7 septembre 2013
A 0:39
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Invention n°3 : Le ferme-sachet hermétique

Aujourd’hui, petite incursion dans le domaine alimentaire, pour changer (ou pas).

Les fermes-sachet habituels ont tous des inconvénients majeurs :
- La pince à linge, ne ferme pas correctement aux extrémités.
- Le truc en plastique qui se clipse ne fait jamais la bonne taille.
- Rouler l’extrémité du sachet ne fournit aucune garantie que le sachet ne se déroulera pas par lui même.

D’où ma petite invention, toute simple. Elle est constitué de deux pièces :

presentation

Note : pour des raisons de commodité, ces pièces ne sont pas à l’échelle. Elles devraient être plus longues et plus fines.

L’utilisation est simple : enficher le sachet dans la fente de la pièce du haut, viser, pour hermétiser le sachet, et utiliser la pièce du bas pour le bloquer.

utilisation

Note : Suivant le côté où la pièce du bas est inséré dans la pièce du haut, on à une utilisation possible pour droitier ou gaucher.

Pour ceux qui seraient intéressé (et possédant une imprimante 3D), je peux fournir les fichier Blender, mais sans aucune garantie, et à la condition que toutes les modifications me soient transmises.

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 25 août 2013
A 1:14
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Inventions, n°2 : La cocotte minute

Aujourd’hui, petite invention qui pourrait s’avérer pratique pour les cuisiniers en herbes.

Il s’agit d’une cocotte minute auto-mélangeuse.

Tout d’abord, un petit dessin.

Cocotte

Il s’agit donc d’une cocotte en somme assez classique dans l’ensemble. La seule différence majeure consiste en deux séries de pales.
Une série en haut, dans le couvercle, permettant de récupérer la pression issue de la cuisson, et donc de faire tourner un axe, et ainsi, la deuxième série de pales, en bas de la cocotte, permettant un mouvement continue des aliments en cours de cuisson.

Un mécanisme supplémentaire pourrait être intégré dans le couvercle, permettant de régler la vitesse de transmission des pales à l’axe centrale, autorisant ainsi à modifier la vitesse du mélange.

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 19 avril 2013
A 1:14
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Inventions, n°1 : L’agrafeuse

Ok, je commence une nouvelle série de posts, qui vont présenter des idées d’inventions qui pourraient être utile.
A défaut de les fabriquer, peut-être que ça donnera des idées à d’autre, ou au moins, ça me servira d’aide mémoire.

Aujourd’hui, il s’agit d’une agrafeuse.
Qui a déjà essayé d’agrafer ensemble plusieurs pages pour faire un petit livre ? Les agrafes devaient être au milieu des feuilles.
Pour réussir à faire cela, il n’y a qu’une seule solution, plier la partie gauche ou droite du livret, pour que l’agrafeuse puisse atteindre le milieu, abimant ainsi toute la création.

Ce que je propose, c’est de séparer les deux parties de l’agrafeuse, comme sur le schéma ci-dessous :

Le principe est plutôt simple : deux aimants puissants se trouvent à l’arrière de l’agrafeuse, permettant de consolider les deux parties ensemble.
L’aimant le plus centrale pouvant être mobile verticalement, avec un champs réduit. Cela permettrait d’avoir le ressort (qui se trouverait à gauche de l’aimant le plus à gauche sur le schéma ci-dessus) toujours présent, et permettant le retour de l’agrafeuse à une position stable, et prête à agrafer. Ce ressort serait évidemment protégé, pour éviter de percer le papier.

Le point intéressant serait la désolidarisation de cette agrafeuse. On pourrait ainsi placer le socle à une position complètement arbitraire, et resolidariser l’agrafeuse à travers le papier à la position désirée.

Ainsi, plus de papier abimé, une agrafeuse totalement fonctionnelle, aussi bien en mode classique, qu’en mode avancé.

Un life-changer !

Dans la catégorié : Every-day life
Par Cqoicebordel
Le 12 avril 2013
A 12:12
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